Caractérisés par le taux de pauvreté de leurs habitants, les quartiers en politique de la ville présentent de fortes vulnérabilités sociales et économiques, mais aussi des vulnérabilités climatiques et environnementales mises en évidence lors des récentes vagues de chaleur ou la crise sanitaire. Dans ce contexte, la présence et la qualité des espaces de nature deviennent un levier important pour l'amélioration du cadre de vie.
Au-delà de la diversité des formes urbaines de ces quartiers (grands ensembles, quartiers de villes nouvelles, quartiers anciens dégradés), il s'agira d'interroger leur potentiel de renaturation, les sites mobilisables, l'éventail des acteurs impliqués ainsi que le rôle des habitants.